Voilà enfin la première photo de mes vrais macarons maison ... à moi moi moi ... et un peu à Hugo aussi ... (un peu)

J'ai suivi à la lettre et scrupuleusement (ce qui est très difficile pour moi ... c'est d'ailleurs pour ça que je n'aime pas trop la patisserie ... peser ... au gramme près ... brrrr ) cette recette : http://www.puregourmandise.com/recettes/014.htm

Le résultat est, ma foi, plûtot appétissant ... Jugez par vous même :

Les macarons étaient bons, mais pour nous, c'est difficile de juger - pas de référence en la matière - notre prochaine étape, avant de retenter l'expérience est d'acheter de vrais macarons ... de les déguster ... et de réessayer ...

On se rapproche un peu, juste pour le fun ... Et pour finir, on se lèche les doigts de plaisir !!!!

Dès que j'ai acheté une sonde et goûté TOUS les macarons, je me lance dans la recette de Mercotte, THE spécialiste ...

Même si l'homme a toujours été considéré comme le sexe "fort", je n'y crois pas ! Et pourtant ... Mon homme, qui ne cuisine qu'à l'occasion de .... de koi au fait ? De rien. Seulement lorsqu'il a envie de manger un bon gros gratin dauphinois. Là, il sort son économe, ses patates, sa crème ... et ce je ne sais quoi qui fait que quoi je fasse, le mien est moins bon... Je ne m'y résoudrai jamais ... Pour les ingrédients, c'est un peu au feeling ... Du lait, pas de lait ... De la crème, du beurre ... Tout est question de goût ... Pourtant, sur les photos ... Humm on en mangerait (c'est le mien) ... Est-ce le fait de ne pas avoir confectionné le gratin dauphinois moi-même qui le rend si ... fondant ? alléchant ? succulent ...

Possible ... En tous cas, je m'incline ...

  Bravo mon homme !

Pour ceux qui auraient chercher ... Et qui bien sûr, n'ont pas trouvé ... Voili de ki il s'agissait :

En ce qui concerne ce parfum de tic tac, il est introuvable en France. Nous les avons achetés loin, très loin, très très loin ... mais ceci est une autre histoire.

Pour les pauvres unilinguiste, le cinnamon est la canelle ...

A bientôt !

Mon goût pour la cuisine ne date pas d'hier. Aussi, depuis que je suis maman, je propose régulièrement à Hugo de venir avec moi dans la cuisine pour préparer le repas en espérant que lui aussi, plus tard, il y prendra plaisir. Il est souvent très volontaire et curieux. Nos expériences à deux sont souvent "expérimentales". Je garde en tête le souvenir d'un essai de "Nid d'Oiseau en chocolat" pour Pâques, qui, certes, ne nous a pas rempli l'estomac (faute de pratique et d'outils adaptés) mais nous a laissé un souvenir impérissable.

Dans la perspective de préparations récréatives avec Hugo, j'ai donc investi dans un petit livre "Je cuisine avec mon enfant". Le nom des recettes est un véritable enchantement - Soupe de vampire, Dos de dragon, Piques de chevalier - J'ai opté, au vu du contenu de mon frigo pour des "paillassons sucrés-salés". Malheureusement pour moi, sur ce coup là, Hugo m'a laissée seule dans la cuisine (il avait mieux à faire ...). Je me suis donc retrouvé en tête à tête avec Roméo, le gentil petit lapin qui m'a aidé dans le déroulement de cette sympathique recette que je vous livre telle que, imprimée, réalisée, dévorée.

Paillassons sucrés-salés, une recette végétarienne - 2 personnes

- 300 g de carottes
- 3 oeufs
- 75 g de flocons d'avoine
-  2 cc de noisettes concassées grossièrement
- 1 cs farine
- 2 cc sel de mer
- 2 grosses pincées de poivre
- huile d'olive pour la cuisson
+ 2 grosses cs de compote de pommes (dans la recette originale, il faut faire une compote maison ...)

Laver et éplucher les carottes. Les raper à gros trous. 
Battre les oeufs, ajouter les flocons d'avoine, les noisettes et la farine. Bien mélanger le tout. Ajouter enfin les carottes.

Verser des petits tas dans une poele chaude, les lisser avec une spatule pour former des petites crèpes. Attention, retourner le paillasson est périlleux ... mais réalisable ...

Pour finir, servir chaque paillasson avec une cuillère de compote froide.

A vu de nez, ça a l'air plutôt facile .... Gélules pour bronzer ? Haricots rouges secs ?

Perdu ! Rien de tout cela  ... La forme ? Elle vous dit quelque chose ? Normal ... Cette invention a été lancé en France en 1971. Je vous donne sa recette, unique :

"un cœur de fraîcheur enrobé d’une couche de douceur pour le plus agréable des plaisirs" ..... Alors ? Toujours aucune idée ?

Malgré la forme familière, quelque chose vous chiffone ? Normal ! Cette petite pastille, reine de la petite confiserie de poche, est déclinée en 5 parfums : Menthe, Orange, Citron vert & Orange, Menthe Forte et Menthe Verte Chlorophylle, ou, pour être très terre à terre .... du vert, du jaune, de l'orange, du blanc ... Mais pas de rouge ...

Qui va mettre à jour le mystère du Tic Tac Rouge ? J'attends impatiemment vos suggestions ... Qui sera l'heureux gagnant ? Et n'oubliez pas : soyez audacieux !!!

A très vite pour la réponse ....

Que faire avec 2 carottes, 1 courgette, de jolis contenants transparents ?... Des K qui aiment les légumes, le fromage ?... Une idée qui m'est venue en vrac ... Résultat gustatif intéressant et pour les couleurs ... Ravissant ...

Craps courgettes et carottes ruban - 3 personnes -

- 2 carottes
- 1 belle courgette
- 3 cs de féta marinée
- 1 cc de coriandre en grains
- fleur de sel, mélange 5 baies
- huile d'olive
- vinaigre balsamique

Détailler la courgette en petits cubes en conservant la peau. Faire cuire 3 mn dans une casserole d'eau bouillante salée. Egoutter. Laisser refroidir puis laisser mariner 10 mn dans le vinaigre balsamique, l'huile d'olive, fleur de sel et 5 baies.
Eplucher les carottes en les grattant. Les détailler en ruban à l'économe. Faire cuire 2 mn dans une casserole d'eau bouillante salée. Egoutter. Laisser refroidir puis laisser mariner 10 mn dans l'huile d'olive et les graines de coriandre concassées.
Au moment de servir, monter les verrines en commençant par les courgettes, 1 cs de féta. Finir par les carottes ruban.

Bon apétit à tous !

Bonjour à tous et bienvenue sur ce nouveau blog ...

Avez-vous remarké ? Mon goût pour les K ? ... Je les zaime ... Je les zadore ... Pourkoi ? Parceque j'en suis un ... De koi ? Un Koi ? Un K ... Trève de plaisanterie, j ai 36 ans. Je vis et je suis entourée de K. Vous ne me croyez pas ? Libre à vous ... Mais si vous en zêtes un, vous pourrez vérifier que j'en suis ... @ bientôt !